La Turbie est unecommune des Alpes Maritimes située à 18 kilomètres de Nice sur la route de la Corniche, une arête réunit la Tête de Chien au Mont Agel et qui domine la Méditerranée.
Une photo du Faubourg Saint Martin de Senlis prise après la bataille du 2 septembre 1914 .Plus d’une centaine de maisons brûlée et des otages civils fusillés .
La bataille de Pargny-sur-Saulx fait partie des événements marquants de la Première Guerre mondiale, plus précisément de la bataille de la Marne qui s’est déroulée en septembre 1914. Cette bataille a été cruciale pour stopper l’avancée des troupes allemandes vers Paris. À Pargny-sur-Saulx, les forces françaises ont mené des combats acharnés pour défendre leurs positions. La région a vu des affrontements intenses, avec des soldats faisant preuve d’un grand courage face à des conditions difficiles. La bataille de la Marne a finalement permis aux Alliés de reprendre l’initiative et de commencer à repousser les forces allemandes, marquant un tournant dans le conflit.
Un Soissonnais a envoyé cette carte à sa Mère de Montivilliers le 21 février 1915.
Au dos il a mis le nom de ses camarades: 3 ème Régiment de Génie, 16 ème escouade
Carte d’un Poilu d’Orient envoyée à sa Mère : le 1 er janvier 1916 .Soldats blessés à l’hôpital de Nice Le Casino de Nice, comme beaucoup d’autres établissements de jeux en France, a connu des périodes difficiles pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). À cette époque, la ville de Nice était un lieu de villégiature prisé, mais la guerre a eu un impact significatif sur le tourisme et les activités de loisirs. Durant cette période, le casino a été utilisé à des fins différentes, notamment comme hôpital militaire pour soigner les soldats blessés. Cela a entraîné une transformation de son rôle habituel, qui était principalement axé sur le divertissement et le jeu. Après la guerre, le Casino de Nice a progressivement retrouvé son activité d’origine, mais les souvenirs de cette période difficile ont laissé une empreinte sur l’histoire de l’établissement là où la guerre passe,il ne reste que des ruines: Soissons en 1919 ;rue Saint Martin et le quartier Saint Waast
Le 11 novembre 1918, à 5h15 l’armistice entre la France et l’Allemagne à mis fin à la première guerre mondiale. La siganture a eu lieu dans un wagon apporté dans une clairière de la forêt de Compiègne
Le Musée où se situe le wagon de l’armistice ( c’est une copie celui dans le lequel a été signé l’armistice le 11 novembre 1918 a été brûlé durant le seconde guerre mondiale)
statue du Maréchal Foch et emplacment du wagon
L’Alliance de la Paix
L’ anneau où est gravé en lettres d’or le mot « paix » dans 52 langues et calligraphies différentes. Pour célébrer le centenaire de la Première Guerre mondiale, la Ville de Compiègne a fait appel à l’artiste Clara Halter pour imaginer un monument pour la paix
« La basilique et la tour lanterne de la plus grande nécropole militaire française veillent sur plus de 42 000 soldats français morts durant la Première Guerre Mondiale sur le front de l’Artois, mais aussi des Flandres françaises et belges. Moins de la moitié a été identifié. Le site (cimetière, ossuaires, basilique et tour-lanterne) a une superficie de plus de 25 hectares.
Durant la Grande Guerre, la colline de Lorette avait une position dominante, à 165m de hauteur, qui permettait une vue à 360° de toute la région de Lens jusqu’à Arras. Elle fut occupée par les Allemands dès octobre 1914 et les Français, aidés par les Britanniques, tentèrent de la reprendre, au prix de très nombreux morts, jusqu’en octobre 1915. »
Mémorial national du Canada à Vimy Le Monument commémoratif du Canada à Vimy rend hommage à tous ceux qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale. Il porte les noms des soldats morts en France qui n’ont pas de tombe. Il a été construit sur le site de la victoire du Canada pendant la bataille de la crête de Vimy. Le 26 juillet 1936
L’association de l’ancienne sucrerie de Francières (oise) a demandé à des peintres parisiens qui ne connaissaient absolument pas la Picardie de faire un tableau en imaginant notre région :résultats des couleurs vives, des champs de blé (notre principale culture est la betterave et de très jolies nuances de gris (au moins 50 brisent la monotonie du ciel bleu)
Ensuite, les peintres ont pris le RER:terminus Creil et là : Fumées d’usines, ciel un peu sombre : derrière la base aérienne et son repère pour avion qui ressemble à la fusée de Tintin, les immeubles du plateau . Résultat: ce tableau .
le directeur habitait cette demeure dans l’usine:les propriétaires M et Mme Benoit vivaient à la ferme de Fresnel près de la sucrerie
La chapelleun pain de sucre de canne
les différents sucres ; Du cristallisé (première carbonisation ) de la vegeoise (seconde carbonisation) utilisé surtout pour fabriquer les spéculoos du Nord
Séparé de Quiberon dès 16531 à la suite d’un démembrement de la paroisse, Saint-Pierre-Quiberon devient une commune à part entière en 1856, sous le nom de Saint-Pierre, et prend son nom actuel en 1962 (Saint-Pierre-Quiberon était déjà utilisé sur les actes de naissance en 1907).
Saint-Pierre-Quiberon est célèbre pour sa situation sur les bords de la baie de Quiberon qui constitue la partie occidentale de Mor braz, son climat, sa côte sauvage qui a inspiré nombre de peintres et de poètes, notamment au xixe siècle