L’Etna est l’un des volcans les plus actifs et les plus célèbres au monde, situé sur l’île de Sicile en Italie. C’est un stratovolcan, ce qui signifie qu’il est formé par des couches successives de lave, de cendres et de roches volcaniques. Sa dernière éruption a été relativement récente, témoignant de son activité continue. L’Etna est également le plus grand volcan d’Europe, avec une hauteur d’environ 3 329 mètres, bien que cette altitude puisse varier en raison de ses éruptions. Il est non seulement un site géologique impressionnant, mais aussi une attraction touristique majeure, offrant des paysages spectaculaires et des possibilités d’exploration pour les amateurs de nature et de volcanologie. Sa présence influence également la culture et l’économie locale, notamment par la viticulture et l’agriculture dans ses environs.
Parmi les plus grandes éruptions il y a celle de 1669, qui a été l’une des plus importantes, dévastant plusieurs villages environnants et construisant la ville de Catane avec ses coulées de lave. Une autre éruption notable a eu lieu en novembre 1843 ,il y a eu 36 morts. Une autre en 1928, suivie par celles de 1971, 2002-2003, et plus récemment en 2018 et 2020, qui ont continué à façonner le paysage et à attirer l’attention des volcanologues du monde entier.
Ces éruptions sont souvent caractérisées par des coulées de lave, des explosions de cendres, et parfois des émissions de gaz volcaniques. La vigilance est de mise, car l’Etna reste un volcan actif, mais il est aussi une merveille naturelle qui fascine par sa puissance et sa beauté.
Palermo est la capitale de la Sicile, elle a été fondée par les Phéniciens sous le nom de Ziz. Elle a ensuite été occupée par les Grecs, les Romains, les Arabes, les Normands et les Espagnols, chacun laissant une empreinte indélébile sur la ville. Au Moyen Âge, Palermo était un centre culturel et politique majeur sous la domination normande, avec des monuments comme la cathédrale de Palermo et le palais des Normands. ( Ancien siège des rois de Sicile, connu pour sa chapelle Palatine, un joyau de l’art normand.)
Sainte Rosalie, également connue sous le nom de Santa Rosalia, est la sainte patronne de Palerme, en Sicile. Elle est vénérée pour sa vie de dévotion et de pénitence, ainsi que pour son rôle dans la protection de la ville contre la peste. Sainte Rosalie est née vers 1130 dans une famille noble de Palerme. Son père, Sinibald, était un descendant de Charlemagne, et sa mère, Maria Guiscarda, était de la famille des ducs de Normandie. Elle est morte vers 1166 dans sa grotte sur le Mont Pellegrino. Ses restes ont été découverts en 1624, lors d’une période de peste à Palerme. En 1624, Palerme a été frappée par une épidémie de peste. Selon la tradition, Sainte Rosalie est apparue à un chasseur et lui a indiqué l’emplacement de ses reliques sur le Mont Pellegrino. Les reliques ont été rapportées à Palerme et portées en procession dans les rues de la ville. Peu après, l’épidémie de peste a pris fin, et les habitants de Palerme ont attribué ce miracle à l’intercession de Sainte Rosalie. Chaque année, le 15 juillet, Palerme célèbre la fête de Sainte Rosalie, connue sous le nom de « Festino di Santa Rosalia ». Cette fête est l’un des événements les plus importants de l’année à Palerme et attire des milliers de visiteurs. La célébration inclut une procession solennelle du char de Sainte Rosalie à travers les rues de la ville, des feux d’artifice, des concerts et d’autres événements culturels. Le sanctuaire de Sainte Rosalie est situé sur le Mont Pellegrino, où elle a vécu et est morte. Le sanctuaire est un lieu de pèlerinage important pour les fidèles qui viennent prier et rendre hommage à la sainte. La grotte où elle a vécu est également un lieu de dévotion et de recueillement.
La cathédrale de Palerme, officiellement connue sous le nom de Cathédrale Maria Santissima Assunta, est l’un des monuments les plus importants et emblématiques de la ville de Palerme, en Sicile. La construction de la cathédrale a commencé à la fin du XIIe siècle, sous la domination normande. Elle a été construite sur les ruines d’une ancienne basilique byzantine qui avait été transformée en mosquée pendant la période de domination arabe.
Mosaïque de l’apôtre Pierre et André de à l’église de Santa Maria dell’Ammiraglio ou la Martorana La Martorana : Également connue sous le nom de Santa Maria dell’Ammiraglio, cette église en croix grecque possède des mosaïques et des fresques représentant divers saints et scènes bibliques. Parmi les représentations, on trouve les huit apôtres non-évangélistes, dont Simon, appelé Pierre, et André, son frère
Le parc Bonanno, également connu sous le nom de Villa Bonanno, est un jardin public situé à Palerme
Le parc est situé en face du Palais des Normands et près de la Cathédrale de Palerme, dans le centre historique de la ville12.
Il s’étend sur environ 3 hectares et est caractérisé par ses palmiers luxuriants et ses plantes méditerranéennes23.
Le parc a été conçu en 1905 par Giuseppe Damiani Almeyda dans le cadre de l’aménagement de la Piazza Vittoria2.
Il a été nommé en l’honneur de Pietro Bonanno, qui était le maire de Palerme à l’époque et qui a voulu la création de cet espace vert
Le parc abrite plusieurs éléments d’intérêt, notamment la « maison du gardien » conçue par Almeyda, un buste en marbre du maire Bonanno, et un monument dédié à Philippe IV réalisé par Nunzio Morello en 18562.
On y trouve également les ruines de deux maisons patriciennes romaines mises à jour au 19e siècle, témoignant des établissements antiques dans la région de Palerm
La Fontaine Prétorienne, également connue sous le nom de Fontana Pretoria, est l’une des fontaines les plus célèbres et les plus impressionnantes de Palerme, en Sicile. Voici quelques informations clés sur cette fontaine :
La fontaine a été construite en 1554 à Florence par Francesco Camilliani, un sculpteur toscan. Elle était initialement destinée à un jardin de la villa de Don Luigi de Toledo, vice-roi de Sicile. En 1573, la fontaine a été démontée et transférée à Palerme. Elle a été installée sur la Piazza Pretoria, d’où elle tire son nom. Le transfert et l’installation de la fontaine à Palerme ont été commandés par Don Garzia de Toledo, fils de Don Luigi, qui était alors vice-roi de Sicile.
S La fontaine est composée d’un grand bassin central entouré de quatre escaliers. Elle est ornée de nombreuses statues représentant des dieux, des déesses, des nymphes, des tritons et d’autres figures mythologiqu Les statues et les éléments architecturaux sont principalement en marbre. La fontaine est un exemple remarquable de la sculpture manieriste, avec des figures dynamiques et expressives.
Les statues représentent diverses allégories et figures mythologiques, symbolisant les forces de la nature, les saisons, les mois de l’année . En raison de la nudité de nombreuses statues, la fontaine a été surnommée « Fontaine de la Honte » par les habitants de Palerme à l’époque de son installation. Les religieux locaux étaient scandalisés par les représentations nues et ont même tenté de la faire détruire.
Emplacement
Piazza Pretoria : La fontaine est située au cœur de Palerme, sur la Piazza Pretoria, une place historique entourée de bâtiments importants comme l’Hôtel de Ville (Palazzo Pretorio) et l’église Santa Caterina.
TAu fil des siècles, la fontaine a subi plusieurs restaurations pour préserver sa beauté et son intégrité. Les travaux de restauration les plus récents ont été réalisés pour nettoyer et réparer les statues et les éléments architecturaux.
La Fontaine Prétorienne est devenue l’un des symboles de Palerme et une attraction touristique majeure. Elle est appréciée pour sa beauté artistique et son importance historique. La fontaine a inspiré de nombreux artistes et écrivains et est souvent représentée dans des œuvres d’art et des photographies.
La Fontaine Prétorienne est un témoignage de l’histoire riche et complexe de Palerme, ainsi que de son patrimoine artistique et culturel.
: Le Teatro Massimo a été construit entre 1875 et 1897. Il a été conçu par l’architecte italien Giovan Battista Filippo Basile, qui a également conçu d’autres monuments importants de Palerme. La construction a été achevée par son fils, Ernesto Basile, après la mort de Giovan Battista. : Le théâtre a été inauguré le 16 mai 1897 avec une performance de l’opéra « Falstaff » de Giuseppe Verdi. Il est le plus grand théâtre lyrique d’Italie et l’un des plus grands d’Europe. : Le bâtiment est un exemple remarquable de l’architecture néoclassique. Il se distingue par sa grande coupole et sa façade imposante, ornée de colonnes et de statues.
Le Teatro Massimo est célèbre pour être le lieu où a été tournée la scène finale du film « Le Parrain III » de Francis Ford Coppola. Dans cette scène, Michael Corleone, joué par Al Pacino, assiste à une représentation de l’opéra « Cavalleria Rusticana » de Pietro Mascagni.
Le Teatro Politeama a été construit entre 1867 et 1874. Il a été conçu par l’architecte Giuseppe Damiani Almeyda, qui a également conçu d’autres monuments importants de Palerme, comme le Teatro Massimo. Le théâtre a été inauguré en 1874 et a été nommé en l’honneur de Giuseppe Garibaldi, un héros national italien qui a joué un rôle crucial dans l’unification de l’Italie.Le bâtiment est un exemple remarquable de l’architecture néoclassique. Il se distingue par sa grande coupole et sa façade imposante, ornée de colonnes et de statues. La façade du théâtre est ornée de statues représentant des figures mythologiques et allégoriques, ainsi que des colonnes corinthiennes. Au sommet de la façade, on trouve une grande horloge et une statue équestre de Giuseppe Garibaldi.
Wissant est une commune située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France. La population légale officielle de Wissant au 1er janvier 2024 est de 848 personnes
Le Général Charles de Gaulle a passé plusieurs vacances à Wissant, notamment dans les années 1920. Il y a séjourné avec son épouse Yvonne Vendroux, qu’il a épousée en 1921. Ils ont d’abord logé à la villa Antoinette, puis à la villa Wissantaise. C’est durant ces séjours que Charles de Gaulle a rédigé une grande partie de son premier ouvrage, « Le Fil de l’Épée »12
Les vacances à Wissant étaient une tradition pour le couple jusqu’en 1932, année de leur dernier été passé dans cette station balnéaire. L’année suivante, ils ont acheté une propriété à Colombey-les-Deux-Églises2.
Charles de Gaulle appréciait particulièrement les promenades sur les plages entre Sangatte et le Blanc Nez, ainsi qu’entre Wissant et le Gris-Nez, une habitude qu’il a conservée tout au long de sa vie lors de ses séjours familiaux à Calais
Le monument aux morts de Wissant, situé place du Général de Gaulle, représente un « Poilu au repos ». . L’auteur de cette sculpture est E. Camus
L’église de Wissant est l’église Saint-Nicolas, un édifice religieux situé dans la commune de Wissant, dans le département du Pas-de-Calais en France. Cette église est un exemple typique de l’architecture religieuse de la région et elle joue un rôle central dans la vie locale.
L’église Saint-Nicolas de Wissant est connue pour son style architectural qui mêle des éléments roman et gothique. Elle est dédiée à Saint Nicolas, le patron des marins
Thomas Becket, également connu sous le nom de Saint Thomas de Canterbury, est une figure historique majeure en Angleterre. Il a servi comme Lord Chancelier de 1155 à 1162, puis comme Archevêque de Canterbury de 1162 jusqu’à son assassinat en 1170. Il est célèbre pour son conflit avec le roi Henri II d’Angleterre concernant les droits et privilèges de l’Église, notamment le droit des tribunaux ecclésiastiques à juger les clercs91
Thomas Becket a un lien historique avec Wissant, une ville côtière dans le Pas-de-Calais en France. En 1170, alors qu’il revenait de Rome, il est passé par Wissant lors de son voyage de retour vers Canterbury, où il a été assassiné dans la cathédrale le 29 décembre 1170. Il est dit que Thomas Becket a prié dans l’église Saint-Nicolas de Wissant avant de continuer son voyage vers l’Angleterre, où il savait qu’il risquait sa vie
Raoul de Godewarsvelde, de son vrai nom Francis Albert Victor Delbarre, était un chanteur français né le 28 janvier 1928 à Lille et décédé le 14 avril 1977 à Audinghen. Il est surtout connu pour ses chansons inspirées par la mer et la vie des pêcheurs de la région de la Côte d’Opale, notamment autour de Wissant et du Cap Gris-Nez12
Raoul de Godewarsvelde a choisi son pseudonyme en s’inspirant du nom du village de Godewaersvelde, situé près de la frontière belge. Il était très attaché à la mer et à la pêche, et avait acheté une maison au Cap Gris-Nez.
Il est décédé le 14 avril 1977 à Audinghen, où il a été enterré
L’église Saint-Pierre d’Arradon a été construite au 19ème siècle, plus précisément entre 1860 et 1863
L’histoire d’Arradon est riche et reflète l’évolution de la Bretagne au fil des siècles. À l’origine, la région était habitée par des populations celtes, et des vestiges archéologiques témoignent de cette présence ancienne.
Au Moyen Âge, Arradon était un petit bourg rural, et son développement a été influencé par la proximité du Golfe du Morbihan, qui a favorisé la pêche et le commerce maritime. L’église Saint-Pierre, construite au 19ème siècle, est un symbole de cette époque et témoigne de l’importance de la foi dans la vie des habitants.
Au 19ème et au début du 20ème siècle, Arradon a connu une transformation avec l’arrivée de la bourgeoisie qui a cherché à s’installer dans des lieux pittoresques. Cela a conduit à la construction de villas et à un développement touristique qui perdure aujourd’hui.
La commune a également été marquée par des événements historiques, notamment pendant les deux guerres mondiales, où la région a joué un rôle stratégique.
Jean-Baptiste Duroselle, historien français (17 novembre 1917 à Paris – 12 septembre 1994 à Arradon).
François Mahé, ancien coureur cycliste professionnel est né le 2 septembre 1930 dans la commune, décédé le 31 mai 2015.
Denise Grey, inhumée au cimetière d’Arradon en janvier 1996, auprès de son mari et de sa fille Suzanne Grey. Elle avait de son vivant possédé une propriété au lieu-dit Quirion.
Pierre Dalido, docteur ès-Lettres, auteur de « L’huître Du Morbihan » ainsi que de « Jersey : Ile Agricole Anglo-Normande », préfacé par Lucien Febvre[111].
Anne Vanderlove (1943-2019), auteure-compositrice-interprète, surnommée la « Joan Baez française », a grandi à Arradon, commune où résidaient ses grands-parents maternels.
Anne Caseneuve (1964-2015), navigatrice, a résidé à Arradon les dernières années de sa vie. Elle est à l’origine du premier club nautique d’Arradon, l’esplanade de l’actuelle base nautique porte son nom depuis 2015.
Marilyse Leroux, poétesse, romancière et chansonnière née en 1955 à Vannes, a grandi à Arradon.
Cafalu, ou Cefalù en italien, est une charmante ville située sur la côte nord de la Sicile, en Italie. C’est une destination célèbre pour ses magnifiques plages de sable, son centre historique pittoresque et sa célèbre cathédrale normande, la Duomo di Cefalù, qui date du 12ème siècle. La ville est également connue pour ses ruelles étroites, ses maisons colorées et ses paysages spectaculaires, notamment la montagne Madonie qui l’entoure. Cafalu offre un mélange parfait de culture, d’histoire et de beauté naturelle, ce qui en fait un lieu très apprécié des touristes. la ville de Cefalù, en Sicile, compte environ 14 000 habitants
Photos prises du château de Rocca .
Le Château de Rocca Cefalù, également connu sous le nom de Rocca di Cefalù, est une forteresse impressionnante située dans la charmante ville de Cefalù, en Sicile. Perchée sur une colline, elle offre une vue panoramique magnifique sur la mer Méditerranée et la ville environnante.
Ce site historique remonte à l’époque normande, au XIIe siècle, et a été utilisé à la fois comme forteresse défensive et comme refuge
Un sac avec la charrette sicilienne
La charrette sicilienne, souvent représentée sur des souvenirs, sacs ou autres objets artisanaux, est un symbole emblématique de la culture sicilienne. Il s’agit d’une petite charrette colorée, traditionnellement utilisée par les artisans, les marchands ou dans les festivals locaux. Ces charettes sont souvent décorées de motifs vifs, de fleurs, de figures géométriques et de détails artistiques qui reflètent la richesse de l’artisanat sicilien.
Ce symbole évoque l’histoire rurale de la Sicile, où ces charettes étaient utilisées pour transporter des marchandises ou des produits agricoles. Aujourd’hui, elle est devenue un motif représentatif de l’identité sicilienne, symbolisant la tradition, la fête et la fierté locale. On la retrouve fréquemment sur des objets souvenirs pour rappeler la beauté et la culture de cette île méditerranéenne.
La charrette sicilienne, appelée aussi « carretto siciliano » en italien, possède une histoire riche et une signification profonde dans la culture de la Sicile. Elle remonte à plusieurs siècles, à l’époque où ces petites charettes étaient utilisées par les artisans, les marchands et les agriculteurs pour transporter leurs produits, notamment dans les villages et les campagnes de l’île.
Ce qui rend la carretto si spéciale, c’est sa décoration colorée et élaborée. Les artisans siciliens, souvent des artisans de la région de Palermo ou de la ville de Caltagirone, ont développé un art de peindre ces charettes avec des motifs vifs, des fleurs, des figures mythologiques, des scènes folkloriques et des symboles locaux. Ces décorations sont non seulement esthétiques, mais aussi porteuses de significations culturelles et religieuses, représentant souvent la protection divine ou la fierté locale.
Au fil du temps, la charrette est devenue un symbole de l’identité sicilienne, incarnant la tradition, la créativité et la patrimoine artisanal. Aujourd’hui, elle est principalement utilisée comme motif décoratif sur des objets souvenirs, des vêtements ou des accessoires, pour rappeler la richesse culturelle de la Sicile.
L’Intrepid Sea-Air-Space Museum est un musée d’histoire militaire et maritime situé à New York, sur la 46e rue, au niveau du Pier 86, le long de l’Hudson River, dans le quartier de Hell’s Kitchen à Manhattan. Le musée est principalement composé d’expositions, d’avions et d’engins spatiaux à bord du navire-musée USS Intrepid, un porte-avions de l’ère de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que d’un sous-marin lanceur de missiles de croisière nommé USS Growler et d’expositions sur le Pier 86. L’USS Intrepid a également servi pendant la guerre froide, la guerre du Vietnam et comme navire de récupération pour la NASA. Le musée abrite également la première navette spatiale, l’Enterprise, ainsi que le Concorde, l’avion commercial le plus rapide au monde, et plus de 30 avions militaires, dont un avion espion supersonique, exposés sur et autour du porte-avions légendaire123.
Le musée propose divers programmes et événements qui célèbrent l’histoire, la science, la technologie et l’ingénierie de manière amusante et passionnante. Les visiteurs peuvent profiter de simulateurs de vol exaltants, d’un théâtre 4D, d’expériences de réalité virtuelle et augmentée, et plus encore. Le musée est également un lieu populaire pour les fêtes d’anniversaire et les événements spéciaux2.
L’Intrepid Museum a été fondé en 1982 avec l’acquisition du porte-avions USS Intrepid, qui est maintenant un monument historique national. Le musée est géré par l’Intrepid Museum Foundation, une organisation à but non lucratif 501(c)(3) créée en 1979
La cloche de l’USS Intrepid, comme celles de nombreux navires, avait une fonction symbolique et pratique :
Cérémonies : Elle était utilisée lors de cérémonies importantes, comme le début et la fin des quarts de travail, les funérailles en mer et les cérémonies commémoratives.
Signalisation : Dans le brouillard ou la nuit, la cloche pouvait servir de signal sonore pour avertir les autres navires de la présence de l’Intrepid.
Symbole : La cloche représentait également l’esprit et la tradition du navire, et elle est souvent conservée comme un objet historique précieux.
Aujourd’hui, la cloche de l’USS Intrepid est un élément important du musée, rappelant l’histoire et le service de ce navire emblématique.
Les Blue Angels, officiellement nommés U.S. Navy Flight Demonstration Squadron, sont une escadrille de démonstration aérienne de la marine américaine. Fondée en 1946, cette unité est la deuxième plus ancienne équipe acrobatique formelle au monde, après la Patrouille de France créée en 1931. Les Blue Angels effectuent généralement des démonstrations aériennes dans au moins 60 spectacles annuels à 30 emplacements aux États-Unis et deux spectacles à un emplacement au Canada. Leur mission est de mettre en avant la fierté et le professionnalisme de la marine américaine et du Corps des Marines en inspirant une culture d’excellence et de service au pays par le biais de démonstrations de vol et de sensibilisation communautaire4.
L’équipe des Blue Angels est composée de six membres qui pilotent des F/A-18 Hornets, répartis en formation Diamond (Blue Angels 1 à 4) et en Solos (Blue Angels 5 et 6). La plupart des manœuvres du spectacle alternent entre celles exécutées par la formation Diamond et celles réalisées par les Solos4.
Les Blue Angels sont basés à la NAS Pensacola et peuvent être vus en train de s’entraîner au-dessus du Musée national de l’aviation navale à des jours sélectionnés tout au long de l’année. Après certains entraînements du mercredi, les membres des Blue Angels visitent le musée pour rencontrer les fans, répondre aux questions et signer des autographes5.
Leur spectacle aérien est connu pour ses manœuvres précises et spectaculaires, attirant environ 11 millions de spectateurs chaque année de mars à novembre. En plus des démonstrations de vol, les membres de l’équipe des Blue Angels visitent également des écoles, des hôpitaux et des fonctions communautaires dans les villes où se déroulent les spectacles aériens, touchant ainsi plus de 50 000 personnes4.
La France a ordonné la mobilisation générale le 2 septembre 1939.
Un militaire de l’Aisne ,mobilisé au Fort de lle d’Yeu a pris des photos
La Citadelle de l’ile d’yeu se nomme aussi Fort de la Pierre Levée(ce nom vient du fait qu’elle a été bâtie à l’emplacemnt d’un menhir)
Sa contruction se déroula de 1858 à 1866 Elle a été une prison , une caserne, puis de lieu de détention et de novembre 1945 à juin 1951, le lieu de détention du Maréchal Philippe Pétain.
Situé sur les hauteurs de Port-Joinville, il offre une vue imprenable sur l’île.
Le fort est ouvert à la visite, permettant de découvrir son histoire et son architecture.
Une exposition permanente nommée « Défendre l’île d’Yeu, l’histoire de la Citadelle » est accessible dans la cour et dans les couloirs.
Le fort de la Pierre Levée est chaque année le théâtre du festival « Viens dans mon île ».
Meurtres à Château-Thierry (ou Fables mortelles) est un téléfilmfranco–belge réalisé en 2024 par Delphine Lemoine d’après un scénario de Julien Capron et diffusé pour la première fois en Suisse le 4 octobre 2024 sur RTS Un, en Belgique le 8 décembre 2024 sur La Une et en France le 21 décembre 2024 sur France 3.
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=327089.html À Château-Thierry, pays de Jean de La Fontaine, le président du tribunal est retrouvé mort sur les marches du palais de justice. Sur le corps, le meurtrier a laissé des indices faisant référence à la fable « Les Animaux malades de la peste ». L’enquête est confiée au capitaine Laetitia Alfonsi, qui n’est autre que la fille illégitime de la victime. Lorsque Thibault, le fils « officiel », vient la menacer de révéler son lien de parenté, elle se voit obligée de faire équipe avec ce demi-frère arrogant.
Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terren. 1, La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom), Capable d’enrichir en un jour l’Achéronn. 2, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n’en voyait point d’occupés À chercher le soutien d’une mourante vien. 3 ; Nul mets n’excitait leur envie ; Ni loups ni renards n’épiaient La douce et l’innocente proie. Les tourterelles se fuyaient : Plus d’amour, partantn. 4 plus de joie. Le Lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L’histoire nous apprend qu’en de tels accidentsn. 5 On fait de pareils dévouementsn. 6 : Ne nous flattonsn. 7 donc point ; voyons sans indulgence L’état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, J’ai dévoré force moutons. Que m’avaient-ils fait ? Nulle offensen. 8 ; Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi : Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. – Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes, Seigneur, En les croquant beaucoup d’honneur; Et quant au berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. » Ainsi dit le Renard ; et flatteurs d’applaudir. On n’osa trop approfondir Du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtinsn. 9, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L’Âne vint à son tour, et dit : « J’ai souvenance Qu’en un pré de moines passant, La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net. » À ces mots, on cria haron. 10 sur le baudet. Un Loup, quelque peu clercn. 11, prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n’était capable D’expier son forfait : on le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de courn. 12 vous rendront blanc ou noir.
Jean de La Fontaine est le fils de Charles de La Fontaine (1594-1658), maître des Eaux et Forêts et capitaine des chasses du duché de Château-Thierry, et de Françoise Pidoux (1582-1644), fille de Jean Pidoux, seigneur de la Maduère (1550-1610). Il a un frère cadet, Claude, né en 1623, et une demi-sœur, Anne de Jouy, née en 1611 d’une première union de leur mère avec Louis de Jouy, un riche marchand de Coulommiers1.
Issu d’une famille de marchands-drapiers en voie d’anoblissement2, il passe ses premières années à Château-Thierry, dans l’hôtel particulier que ses parents ont acheté en 1617 au moment de leur mariage. Jean de La Fontaine exercera d’ailleurs la charge de maître particulier jusqu’en 16713. Le poète gardera cette maison jusqu’en 1676, époque où il connaît des embarras pécuniaires après avoir dilapidé la fortune paternelle4. Classée monument historique en 1887, la demeure du fabuliste abrite aujourd’hui le musée Jean-de-La-Fontaine
C’est vers 1870 que voit le jour ce petit Windsor… Henry Guy, citoyen britannique, ancien officier de l’armée de Sa Majesté, rachète les ruines du château médiéval et construit un château néo-Tudor en guise de maison de campagne… Il y vit et mène grand train pendant près de 20 ans avec son épouse et ses six enfants. A sa mort en 1898, le manoir est racheté par John Whitley, lui aussi britannique et surtout co-fondateur de la station d’Hardelot ! Il fera partir son parcours de golf d’une des tours de l’enceinte…
Alexis-Timothée Bouly naît le 11 décembre 1865 à Condette : il est le fils d’un charron, François-Alexis Bouly (devenu adjoint au maire de 1889 à sa mort en 1909), et d’une lingère, Euphrasine Fauquembergue.
Premier curé d’Hardelot, l’abbé Bouly s’intéresse également à l’étude de domaines très variés, dont la radiesthésie, mot qu’il crée pour désigner les radiations perçues à travers la baguette de sourcier et qui lui vaudra une renommée internationale.
Voyages d'une Picarde en France, à l'étranger et dans le passé avec des photos anciennes