La France a ordonné la mobilisation générale le 2 septembre 1939.
Un militaire de l’Aisne ,mobilisé au Fort de lle d’Yeu a pris des photos
La Citadelle de l’ile d’yeu se nomme aussi Fort de la Pierre Levée(ce nom vient du fait qu’elle a été bâtie à l’emplacemnt d’un menhir)
Sa contruction se déroula de 1858 à 1866 Elle a été une prison , une caserne, puis de lieu de détention et de novembre 1945 à juin 1951, le lieu de détention du Maréchal Philippe Pétain.
Situé sur les hauteurs de Port-Joinville, il offre une vue imprenable sur l’île.
Le fort est ouvert à la visite, permettant de découvrir son histoire et son architecture.
Une exposition permanente nommée « Défendre l’île d’Yeu, l’histoire de la Citadelle » est accessible dans la cour et dans les couloirs.
Le fort de la Pierre Levée est chaque année le théâtre du festival « Viens dans mon île ».
Meurtres à Château-Thierry (ou Fables mortelles) est un téléfilmfranco–belge réalisé en 2024 par Delphine Lemoine d’après un scénario de Julien Capron et diffusé pour la première fois en Suisse le 4 octobre 2024 sur RTS Un, en Belgique le 8 décembre 2024 sur La Une et en France le 21 décembre 2024 sur France 3.
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=327089.html À Château-Thierry, pays de Jean de La Fontaine, le président du tribunal est retrouvé mort sur les marches du palais de justice. Sur le corps, le meurtrier a laissé des indices faisant référence à la fable « Les Animaux malades de la peste ». L’enquête est confiée au capitaine Laetitia Alfonsi, qui n’est autre que la fille illégitime de la victime. Lorsque Thibault, le fils « officiel », vient la menacer de révéler son lien de parenté, elle se voit obligée de faire équipe avec ce demi-frère arrogant.
Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terren. 1, La Peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom), Capable d’enrichir en un jour l’Achéronn. 2, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n’en voyait point d’occupés À chercher le soutien d’une mourante vien. 3 ; Nul mets n’excitait leur envie ; Ni loups ni renards n’épiaient La douce et l’innocente proie. Les tourterelles se fuyaient : Plus d’amour, partantn. 4 plus de joie. Le Lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L’histoire nous apprend qu’en de tels accidentsn. 5 On fait de pareils dévouementsn. 6 : Ne nous flattonsn. 7 donc point ; voyons sans indulgence L’état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, J’ai dévoré force moutons. Que m’avaient-ils fait ? Nulle offensen. 8 ; Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi : Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. – Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes, Seigneur, En les croquant beaucoup d’honneur; Et quant au berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. » Ainsi dit le Renard ; et flatteurs d’applaudir. On n’osa trop approfondir Du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtinsn. 9, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L’Âne vint à son tour, et dit : « J’ai souvenance Qu’en un pré de moines passant, La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net. » À ces mots, on cria haron. 10 sur le baudet. Un Loup, quelque peu clercn. 11, prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n’était capable D’expier son forfait : on le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de courn. 12 vous rendront blanc ou noir.
Jean de La Fontaine est le fils de Charles de La Fontaine (1594-1658), maître des Eaux et Forêts et capitaine des chasses du duché de Château-Thierry, et de Françoise Pidoux (1582-1644), fille de Jean Pidoux, seigneur de la Maduère (1550-1610). Il a un frère cadet, Claude, né en 1623, et une demi-sœur, Anne de Jouy, née en 1611 d’une première union de leur mère avec Louis de Jouy, un riche marchand de Coulommiers1.
Issu d’une famille de marchands-drapiers en voie d’anoblissement2, il passe ses premières années à Château-Thierry, dans l’hôtel particulier que ses parents ont acheté en 1617 au moment de leur mariage. Jean de La Fontaine exercera d’ailleurs la charge de maître particulier jusqu’en 16713. Le poète gardera cette maison jusqu’en 1676, époque où il connaît des embarras pécuniaires après avoir dilapidé la fortune paternelle4. Classée monument historique en 1887, la demeure du fabuliste abrite aujourd’hui le musée Jean-de-La-Fontaine
C’est vers 1870 que voit le jour ce petit Windsor… Henry Guy, citoyen britannique, ancien officier de l’armée de Sa Majesté, rachète les ruines du château médiéval et construit un château néo-Tudor en guise de maison de campagne… Il y vit et mène grand train pendant près de 20 ans avec son épouse et ses six enfants. A sa mort en 1898, le manoir est racheté par John Whitley, lui aussi britannique et surtout co-fondateur de la station d’Hardelot ! Il fera partir son parcours de golf d’une des tours de l’enceinte…
Alexis-Timothée Bouly naît le 11 décembre 1865 à Condette : il est le fils d’un charron, François-Alexis Bouly (devenu adjoint au maire de 1889 à sa mort en 1909), et d’une lingère, Euphrasine Fauquembergue.
Premier curé d’Hardelot, l’abbé Bouly s’intéresse également à l’étude de domaines très variés, dont la radiesthésie, mot qu’il crée pour désigner les radiations perçues à travers la baguette de sourcier et qui lui vaudra une renommée internationale.
Ida, ou Ide, était la fille du duc de Basse Lotharingie, elle épousa à dix-sept ans Eustache II, comte de Boulogne en Flandres. Elle fut la fondatrice de nombreuses abbayes au XIe siècle.
Édifié en 1921, le monument sur lequel trône un poilu tenant une couronne de laurier porte les noms des combattants décédés durant les deux guerres mondiales, ainsi que ceux d’Indochine et d’Afrique du Nord. Les noms des 83 victimes civiles durant la Seconde Guerre mondiale sont aussi gravés dans le marbre .https://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=Monument_aux_morts_de_Boulogne-sur-Mer
L’Ifremer mène des recherches, innove et produit des expertises pour protéger l’océan, exploiter ses ressources de manière responsable et partager les données marines.
En 2024, le film ‘Les chèvres » racontait le procès d’animaux. Entre le XIII ème et XVI ème siècle,
Clermont les Fermes
Eglise de l’Abbaye Saint MArtin de Laon
En 1494,à Clermont les Ferme ( un village de l’ Aisne à 45 kilomètres de Reims (Marne) ) , un jeune enfant qui était dans son berceau, a été mordu par un cochon .il est décédé suite aux morsures . L’animal a été enfermé dans l’Abbaye Saint Martin de Laon.il y a eu un procès (entre le XIII ème et XVI ème siècle des animaux étaient jugés comme des humains) Le cochon a été tué puis pendu .