Fernand Marquigny (24 juillet 1876 – 30 octobre 1942) était un homme politique français.
Il a été maire de Soissons de 1919 à 1942, une période marquée notamment par la reconstruction de la ville après la Première Guerre mondiale.
Il a également été conseiller général de l’Aisne (canton de Soissons) et député de l’Aisne à la Chambre des députés française de 1924 à 1928, siégeant au groupe radical et radical-socialiste. Wikipédia La Place Fernand Marquigny à Soissons porte aujourd’hui son nom. C’est un lieu central de la ville où se trouvent notamment le monument aux morts et le marché couvert. visite.fr+1
Avant sa carrière politique, il s’était installé à Soissons comme avoué (profession juridique) en 1901.
Sur la RN31, en venant de Compiègne ,direction Soissons, à la hauteur de Ressons Le long, sur la gauche ,il y a un Monument qui commémore la “tragédie du Bois des Châssis” entre le 31 août et le 1ᵉʳ septembre 1944.
En août 1944, la Libération progresse en France : dans le sud de l’Aisne, les Alliés avancent, les Allemands sont en repli, et les réseaux de Résistance (FFI, BCRA, etc.) se mobilisent pour appuyer l’effort militaire. A
Dans la zone de Soissons, de Vic‑sur‑Aisne et Ressons‑le‑Long, des unités allemandes restent présentes, notamment pour ralentir l’avance alliée, harceler les communications ou tendre des embuscades. A
Dans la matinée du 31 août, trois résistants non armés — Jacques Blin, Georges Damy et Pierre Roger — traversent l’Aisne pour rejoindre des groupes FFI. Capturés, ils sont exécutés. De façon parallèle, Édouard Ricard, qui circulait à bicyclette, est aussi capturé et tué à la lisière du Bois des Châssis. A
Embuscade dans l’après-midi sur la route nationale N‑31 Le capitaine Georges Muller, chef d’une mission de renseignement (mission “Murat”) du BCRA / forces alliées, et le lieutenant Devillers quittent Soissons en jeep, accompagnés d’un chauffeur américain (Staff Sergeant John W. Califf). Ils longent la N‑31 en direction de Vic-sur-Aisne. Une embuscade est préparée par des soldats allemands camouflés aux abords du Bois des Châssis ; la jeep est criblée de balles. Muller est capturé, probablement interrogé, puis exécuté. Le lieutenant Devillers est tué sur la route. Le chauffeur américain est dépouillé de son uniforme (pour masquer l’origine du véhicule) puis exécuté. A
Les ADN de Soissons
Les communes
de Ressons-le-Long et Vic-sur-Aisne
en souvenir
des brancardier et fusillés
tombés pour la France
au cours de la libération
le 1er septembre 1944
LE MAO Jérôme, brancardier
CALIFF John
Lieutenant MULLER
Lieutenant DEVILLERS
BLIN Jacques
DAMY Georges
ROGER Pierre Jean
ZUNINO Jean
PERDRINI Charles
DÉMARET Florentin Désiré
MAILLIER René
RICARD Édouard
ROUSSEAUX Yvette
L’appel d’un faux renfort et le piège (FFI tombant dans l’embuscade) L’un des soldats allemands aurait enfilé l’uniforme américain et se serait présenté à Soissons, demandant des renforts pour sécuriser Vic‑sur‑Aisne, ce qui semblait crédible — les FFI envoient donc une quarantaine de résistants en camion depuis Soissons. Ces résistants sont pris en embuscade à l’entrée du Bois des Châssis : le camion est pris sous des tirs croisés de mitrailleuses, plusieurs FFI sont tués. Parmi eux : Jean Zunino (17 ans), Charles Pedrini (18 ans), Florentin Demaret (19 ans), René Maillier (29 ans) Une résistante, Yvette Rousseaux (19 ans), est capturée et exécutée. A
Tentative de secours, accident de mina et pertes supplémentaires Dans la nuit, des ambulances improvisées des Assistants du Devoir National (A.D.N.), escortées de FFI, partent pour secourir les blessés. Mais la route est piégée : une ambulance saute sur une mine, tuant son conducteur, blessant gravement des blessées. A
Au petit matin, les secours constatent l’ampleur du massacre : les corps sont découverts en divers points — sur la route, à l’intérieur du bois, en lisière — y compris ceux des victimes de l’attaque de la jeep.
Découvertes des corps, recensement des victimes Le 2 septembre, gendarmes et responsables de la Résistance localisent les cadavres : Jacques Blin, Pierre Roger, Georges Damy, Édouard Ricard, Georges Muller, Yvette Rousseaux, les FFI tués le long de la route, etc. Enfin, André Leffondre, membre du maquis FTP, est retrouvé exécuté à proximité, vraisemblablement par l’unité allemande lors du repli. A
Quand nous chanterons Le temps des cerises Et gai rossignol Et merle moqueur
Léonard Burlat est né le 16 juillet 1872 à Givors( Rhône) il est décédé le 29 janvier 1953 à Loire-sur-Rhône(Rhône) on lui doit le Bigarreau Burlat ( il était arboriculteur)
En 1915, pendant la Première Guerre mondiale, Léonard Burlat est mobilisé au service du parc d’artillerie à Lyon comme artificier. Il remarqua dans le quartier de Gerland un cerisier aux très belles feuilles, ce qui l’incita à prélever des greffons sur cet arbrisseau. Il greffe alors ces greffons sur un merisier, dans sa propriété de Loire-sur-Rhône (près de Givors) et le résultat dépasse toutes ses espérances.
Les cerises Burlat Napoléon sont généralement de couleur rouge foncé à noire lorsqu’elles sont mûres. Elles sont connues pour leur goût sucré et légèrement acidulé, ce qui les rend très populaires pour la consommation fraîche.: Leur chair est ferme et croquante, ce qui les rend également adaptées à la cuisson et à la transformation en confitures ou en desserts.
Les cerises Burlat Napoléon sont précoces et sont généralement récoltées à la fin du printemps ou au début de l’été, souvent dès la mi-mai dans certaines régions. Elles peuvent être utilisées dans une variété de recettes, y compris des desserts, des confitures, des tartes et des salades de fruits.
Coucy-la-Montagne, souvent appelée Coucy, est un charmant village français situé dans l’Aisne, connu pour son riche patrimoine historique. L’un des points d’intérêt majeurs est le château de Coucy, une impressionnante forteresse médiévale qui témoigne de l’architecture et de l’histoire de la région. Ce site est souvent apprécié des visiteurs pour sa beauté et son atmosphère paisible.
Le Château de Coucy a été construit au XIIIe siècle par Enguerrand III de Coucy. Il était célèbre pour son donjon, qui était l’un des plus hauts et des plus impressionnants de l’époque médiévale. Le château a joué un rôle stratégique important au fil des siècles, notamment pendant la guerre de Cent Ans. Malheureusement, il a été gravement endommagé pendant la Première Guerre mondiale par les troupes allemandes, qui l’ont dynamité en 1917.
Les remparts : Les anciennes fortifications de la ville qui offrent une promenade agréable.
Malgré les destructions, les ruines du Château de Coucy restent un site touristique majeur. Les visiteurs peuvent encore admirer les vestiges des murailles, des tours et des portes fortifiées. Le site offre également une vue panoramique sur la vallée de l’Ailette
« Coucy la Merveille » est un spectacle vivant qui met en avant l’histoire et le patrimoine de la commune de Coucy-le-Château-Auffrique, notamment son célèbre château. Ce type de spectacle combine souvent des éléments de théâtre, de musique et de danse pour offrir une expérience immersive aux spectateurs.
Le spectacle peut inclure des reconstitutions historiques, des légendes locales et des performances artistiques qui célèbrent la richesse culturelle de la région. C’est une belle façon de découvrir l’histoire de Coucy tout en profitant d’une soirée divertissante.
Ida, ou Ide, était la fille du duc de Basse Lotharingie, elle épousa à dix-sept ans Eustache II, comte de Boulogne en Flandres. Elle fut la fondatrice de nombreuses abbayes au XIe siècle.
Édifié en 1921, le monument sur lequel trône un poilu tenant une couronne de laurier porte les noms des combattants décédés durant les deux guerres mondiales, ainsi que ceux d’Indochine et d’Afrique du Nord. Les noms des 83 victimes civiles durant la Seconde Guerre mondiale sont aussi gravés dans le marbre .https://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=Monument_aux_morts_de_Boulogne-sur-Mer
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