Ida, ou Ide, était la fille du duc de Basse Lotharingie, elle épousa à dix-sept ans Eustache II, comte de Boulogne en Flandres. Elle fut la fondatrice de nombreuses abbayes au XIe siècle.
Sa fête est le 13 avril
Eglise Sainte Ide
Édifié en 1921, le monument sur lequel trône un poilu tenant une couronne de laurier porte les noms des combattants décédés durant les deux guerres mondiales, ainsi que ceux d’Indochine et d’Afrique du Nord. Les noms des 83 victimes civiles durant la Seconde Guerre mondiale sont aussi gravés dans le marbre .https://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=Monument_aux_morts_de_Boulogne-sur-Mer
La fondation du Mémorial de la Ferme de la Croix Rouge commémore le service, pendant la première guerre mondiale, du 167e régiment d’infanterie d’Alabama, une des unités de garde nationale qui constituait la division arc-en-ciel (42e division). La fondation, grâce à un mémorial en France, à des programmes éducatifs et à des écrits sur la première guerre, promeut le souvenir de l’engagement américain en France pendant la première guerre et plus particulièrement la contribution de l’Alabama.
Histoire
La fondation du Mémorial de la Ferme de la Croix Rouge a été constituée en 2005 afin de commémorer la 42e division US, la division arc-en-ciel, par un monument érigé sur le site de la bataille de la ferme de la Croix Rouge, à Fère-en-Tardenois, non loin de Château-Thierry. Ce mémorial honore tout particulièrement l’un des régiments de la division arc-en-ciel, le 167e Alabama, qui s’est distingué sur ce champ de bataille
L’église Saint-André, classée monument historique23, date du xve siècle, de style flamboyant, avec un clocher à flèche de pierre à crochets. Elle possède une magnifique poutre de gloire polychrome, sculptée de médaillons représentant les douze apôtres. L’église est accolée au vieux cimetière.
Le château de Septmonts, classé monument historique21, a été acquis par la commune en 1978, sous le mandat du maire d’alors, Alain Charmaille, et sa restauration se poursuit aujourd’hui. Jadis ancienne résidence épiscopale en été, il est situé dans un parc donnant sur la place principale, en face de l’église et de la mairie. Son donjon du xive siècle (43 mètres de haut) reste intact et son accès est libre. Il a été représenté par le dessinateur Jean-Pierre-Léopold Baraquin (œuvre conservée au musée de Soissons). Les autres parties du domaine et des bâtiments ont davantage souffert, principalement l’ancienne chapelle et la tour carrée. Pourtant, il reste des douves au nord-est (mais leur réseau a partiellement été asséché) et des murailles, vestiges de l’enceinte. Le palais des évêques de style Renaissance, dont les pans de murs étaient restés debout, a fait l’objet d’une patiente restauration et a retrouvé une toiture en 2010. Au nord du parc, au-delà des douves, ont été aménagés un verger et un arboretum2
À deux pas du musée Vivenel, ancien hôtel de Songeons-Bicquelley, le parc de Songeons abrite encore quelques arcades du cloître de l’ancien couvent des Jacobins.