Archives de catégorie : Histoire

Monument du Bois des châssis

Sur la RN31, en venant de Compiègne ,direction Soissons, à la hauteur de Ressons Le long, sur la gauche ,il y a un Monument qui commémore
la “tragédie du Bois des Châssis” entre le 31 août et le 1ᵉʳ septembre 1944.

https://www.vallee-de-l-aisne.com/site/2964/lemonumentduboisdeschassis.html

Le monument a été inauguré le 2 septembre 1945, un an après l’événement. A cette époque, il était sur la droite de la route

En 2025, il a été déplacé. Une « borne » du réseau départemental Aisne Terre de Mémoire a été inaugurée pour mieux valoriser ce lieu de mémoire.

https://fusilles-40-44.maitron.fr/ressons-le-long-aisne-lieu-dit-bois-des-chassis-31-aout-1er-septembre-1944/

En août 1944, la Libération progresse en France : dans le sud de l’Aisne, les Alliés avancent, les Allemands sont en repli, et les réseaux de Résistance (FFI, BCRA, etc.) se mobilisent pour appuyer l’effort militaire. A

Dans la zone de Soissons, de Vic‑sur‑Aisne et Ressons‑le‑Long, des unités allemandes restent présentes, notamment pour ralentir l’avance alliée, harceler les communications ou tendre des embuscades. A

Dans la matinée du 31 août, trois résistants non armés — Jacques Blin, Georges Damy et Pierre Roger — traversent l’Aisne pour rejoindre des groupes FFI. Capturés, ils sont exécutés.
De façon parallèle, Édouard Ricard, qui circulait à bicyclette, est aussi capturé et tué à la lisière du Bois des Châssis. A

Embuscade dans l’après-midi sur la route nationale N‑31
Le capitaine Georges Muller, chef d’une mission de renseignement (mission “Murat”) du BCRA / forces alliées, et le lieutenant Devillers quittent Soissons en jeep, accompagnés d’un chauffeur américain (Staff Sergeant John W. Califf). Ils longent la N‑31 en direction de Vic-sur-Aisne.
Une embuscade est préparée par des soldats allemands camouflés aux abords du Bois des Châssis ; la jeep est criblée de balles. Muller est capturé, probablement interrogé, puis exécuté. Le lieutenant Devillers est tué sur la route. Le chauffeur américain est dépouillé de son uniforme (pour masquer l’origine du véhicule) puis exécuté. A

Les ADN de Soissons

Les communes

de Ressons-le-Long et Vic-sur-Aisne

en souvenir

des brancardier et fusillés

tombés pour la France

au cours de la libération

le 1er septembre 1944

LE MAO Jérôme, brancardier

CALIFF John

Lieutenant MULLER

Lieutenant DEVILLERS

BLIN Jacques

DAMY Georges

ROGER Pierre Jean

ZUNINO Jean

PERDRINI Charles

DÉMARET Florentin Désiré

MAILLIER René

RICARD Édouard

ROUSSEAUX Yvette

L’appel d’un faux renfort et le piège (FFI tombant dans l’embuscade)
L’un des soldats allemands aurait enfilé l’uniforme américain et se serait présenté à Soissons, demandant des renforts pour sécuriser Vic‑sur‑Aisne, ce qui semblait crédible — les FFI envoient donc une quarantaine de résistants en camion depuis Soissons.
Ces résistants sont pris en embuscade à l’entrée du Bois des Châssis : le camion est pris sous des tirs croisés de mitrailleuses, plusieurs FFI sont tués. Parmi eux : Jean Zunino (17 ans), Charles Pedrini (18 ans), Florentin Demaret (19 ans), René Maillier (29 ans)
Une résistante, Yvette Rousseaux (19 ans), est capturée et exécutée. A

Tentative de secours, accident de mina et pertes supplémentaires
Dans la nuit, des ambulances improvisées des Assistants du Devoir National (A.D.N.), escortées de FFI, partent pour secourir les blessés. Mais la route est piégée : une ambulance saute sur une mine, tuant son conducteur, blessant gravement des blessées. A

  1. Au petit matin, les secours constatent l’ampleur du massacre : les corps sont découverts en divers points — sur la route, à l’intérieur du bois, en lisière — y compris ceux des victimes de l’attaque de la jeep.
  2. Découvertes des corps, recensement des victimes
    Le 2 septembre, gendarmes et responsables de la Résistance localisent les cadavres : Jacques Blin, Pierre Roger, Georges Damy, Édouard Ricard, Georges Muller, Yvette Rousseaux, les FFI tués le long de la route, etc.
    Enfin, André Leffondre, membre du maquis FTP, est retrouvé exécuté à proximité, vraisemblablement par l’unité allemande lors du repli. A

Sources:https://www.aisne.com/territoire/terre-memoire/1939-1945-seconde-guerre-mondiale/liberation-laisne

https://www.uswarmemorials.org/html/monument_details.php?SiteID=2678&MemID=3522

Monuments

Bois des Chassis Massacre Monument

Name:John William CaliffRank:Staff SergeantSerial Number:36065479Unit:1st Infantry DivisionDate of Death:1944-08-31State:IllinoisCemetery:Epinal American Cemetery, Dinozé, FrancePlot:ARow:14Grave:53Decoration:Bronze Star, Purple Heart

Sources :

https://www.uswarmemorials.org/html/people_details.php?PeopleID=31856

Le Mur de Berlin

Après la Seconde Guerre mondiale (1945), l’Allemagne est divisée en quatre zones d’occupation (américaine, britannique, française et soviétique). Berlin, bien que située en zone soviétique, est aussi divisée en quatre secteurs. En 1949 :

  • La RFA (République fédérale d’Allemagne, à l’ouest) est créée.
  • La RDA (République démocratique allemande,) à l’est

Entre 1949 et 1961, environ 3 millions d’Allemands de l’Est fuient la RDA pour rejoindre l’Ouest via Berlin-Ouest

Le 13 août 1961 les dirigeants est-allemands ont construit un mur :

Longueur : environ 155 km

Hauteur : jusqu’à 3,6 m

Composé de : murs en béton, miradors, barbelés, zone de tir appelée « no man’s land »

Des familles ont été séparées et certans ont essayé de fuir


Le Mur était gardé par la Volkspolizei « Police du peuple »
Les VoPos étaient chargés de garder le Mur, aux côtés des gardes-frontières (Grenztruppen).

Photo: fin du secteur Français

  • Situé dans le nord-ouest de Berlin. ( de 1945 à 1990)
  • Comprend les quartiers de :
    • Reinickendorf
    • Wedding (partie de l’actuel district de Mitte)
    • Tegel (où se trouvait l’aéroport français de Berlin-Tegel)

Chute du Mur de Berlin

le 9 novembre 1989 et
Réunification de l’Allemagne : le 3 octobre 1990.

Intrepid Sea-Air-Space Museum

L’Intrepid Sea-Air-Space Museum est un musée d’histoire militaire et maritime situé à New York, sur la 46e rue, au niveau du Pier 86, le long de l’Hudson River, dans le quartier de Hell’s Kitchen à Manhattan. Le musée est principalement composé d’expositions, d’avions et d’engins spatiaux à bord du navire-musée USS Intrepid, un porte-avions de l’ère de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que d’un sous-marin lanceur de missiles de croisière nommé USS Growler et d’expositions sur le Pier 86. L’USS Intrepid a également servi pendant la guerre froide, la guerre du Vietnam et comme navire de récupération pour la NASA. Le musée abrite également la première navette spatiale, l’Enterprise, ainsi que le Concorde, l’avion commercial le plus rapide au monde, et plus de 30 avions militaires, dont un avion espion supersonique, exposés sur et autour du porte-avions légendaire123.

Le musée propose divers programmes et événements qui célèbrent l’histoire, la science, la technologie et l’ingénierie de manière amusante et passionnante. Les visiteurs peuvent profiter de simulateurs de vol exaltants, d’un théâtre 4D, d’expériences de réalité virtuelle et augmentée, et plus encore. Le musée est également un lieu populaire pour les fêtes d’anniversaire et les événements spéciaux2.

L’Intrepid Museum a été fondé en 1982 avec l’acquisition du porte-avions USS Intrepid, qui est maintenant un monument historique national. Le musée est géré par l’Intrepid Museum Foundation, une organisation à but non lucratif 501(c)(3) créée en 1979

La cloche de l’USS Intrepid, comme celles de nombreux navires, avait une fonction symbolique et pratique :

  • Cérémonies : Elle était utilisée lors de cérémonies importantes, comme le début et la fin des quarts de travail, les funérailles en mer et les cérémonies commémoratives.
  • Signalisation : Dans le brouillard ou la nuit, la cloche pouvait servir de signal sonore pour avertir les autres navires de la présence de l’Intrepid.
  • Symbole : La cloche représentait également l’esprit et la tradition du navire, et elle est souvent conservée comme un objet historique précieux.

Aujourd’hui, la cloche de l’USS Intrepid est un élément important du musée, rappelant l’histoire et le service de ce navire emblématique.

Les Blue Angels, officiellement nommés U.S. Navy Flight Demonstration Squadron, sont une escadrille de démonstration aérienne de la marine américaine. Fondée en 1946, cette unité est la deuxième plus ancienne équipe acrobatique formelle au monde, après la Patrouille de France créée en 1931. Les Blue Angels effectuent généralement des démonstrations aériennes dans au moins 60 spectacles annuels à 30 emplacements aux États-Unis et deux spectacles à un emplacement au Canada. Leur mission est de mettre en avant la fierté et le professionnalisme de la marine américaine et du Corps des Marines en inspirant une culture d’excellence et de service au pays par le biais de démonstrations de vol et de sensibilisation communautaire4.

L’équipe des Blue Angels est composée de six membres qui pilotent des F/A-18 Hornets, répartis en formation Diamond (Blue Angels 1 à 4) et en Solos (Blue Angels 5 et 6). La plupart des manœuvres du spectacle alternent entre celles exécutées par la formation Diamond et celles réalisées par les Solos4.

Les Blue Angels sont basés à la NAS Pensacola et peuvent être vus en train de s’entraîner au-dessus du Musée national de l’aviation navale à des jours sélectionnés tout au long de l’année. Après certains entraînements du mercredi, les membres des Blue Angels visitent le musée pour rencontrer les fans, répondre aux questions et signer des autographes5.

Leur spectacle aérien est connu pour ses manœuvres précises et spectaculaires, attirant environ 11 millions de spectateurs chaque année de mars à novembre. En plus des démonstrations de vol, les membres de l’équipe des Blue Angels visitent également des écoles, des hôpitaux et des fonctions communautaires dans les villes où se déroulent les spectacles aériens, touchant ainsi plus de 50 000 personnes4.

Le Fort de l’Ile d’Yeu

La France a ordonné la mobilisation générale le 2 septembre 1939.

Un militaire de l’Aisne ,mobilisé au Fort de lle d’Yeu a pris des photos

La Citadelle de l’ile d’yeu se nomme aussi Fort de la Pierre Levée(ce nom vient du fait qu’elle a été bâtie à l’emplacemnt d’un menhir)

Sa contruction se déroula de 1858 à 1866
Elle a été une prison , une caserne, puis de lieu de détention et de novembre 1945 à juin 1951, le lieu de détention du Maréchal Philippe Pétain.

Situé sur les hauteurs de Port-Joinville, il offre une vue imprenable sur l’île. Le fort est ouvert à la visite, permettant de découvrir son histoire et son architecture. Une exposition permanente nommée « Défendre l’île d’Yeu, l’histoire de la Citadelle » est accessible dans la cour et dans les couloirs. Le fort de la Pierre Levée est chaque année le théâtre du festival « Viens dans mon île ».

Mémorial de Dormans

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9morial_des_batailles_de_la_Marne

Le Mémorial des batailles de la Marne est une chapelle située en partie haute de la commune de Dormans (Marne). Il fait partie des quatre monuments nationaux dédiés à la Première Guerre mondiale avec l’ossuaire de Douaumont (Meuse), Notre-Dame de Lorette (Pas-de-Calais), et le Hartmannswillerkopf (ou Vieil Armand) dans le massif des Vosges.

Historique

https://www.memorialdormans14-18.com/

Le 4 décembre 1949,le Général Charles de Gaulle est venu au Mémorial de Dormans. La clé avait été momentanément égarée mais elle a été vite retrouvée .

Le 4 décembre 1949, le Général De Gaulle est venu au Mémorial. On raconte que la clé avait été perdue:heureusement, elle a été retrouvée .

Bayeux

La cathédrale de Bayeux fut consacrée en 1077 par l’évêque Odon de Conteville en présence de son frère, Guillaume le Conquérant. C’est pour décorer la nef de la cathédrale qu’Odon a fait broder la célèbre Tapisserie de Bayeux, qui raconte l’histoire de la conquête de l’Angleterre en 1066 par Guillaume, duc de Normandie. 

Bayeux a été la première ville de France libérée. Le 7 juin 1944 au matin, les Britanniques sont entrés dans la ville;

Sources: https://www.normandie-tourisme.fr/decouverte/histoire/d-day-et-bataille-de-normandie/premieres-villes-liberees-1944/bayeux-premiere-ville-liberee-france-1944/

https://www.bayeux.fr/fr/decouvrir-bayeux/cathedrale-notre-dame

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_d%27Harcourt_(%C3%A9v%C3%AAque_de_Bayeux)

https://fidelite-gaulliste.fr/le-monument-de-la-liberation-de-bayeux/

Le 14 juin 1952, le monument de la libération de Bayeux a été inauguré en présence du Général de Gaulle. Le sculpteur était M . Raoul Lamourdedieu ,il vivait à Pierrefonds (Oise) Le directeur de l’école des garçons du village , M Villette ,éditait un journal de classe nommé  » ‘L’Abeille » . Le fils de M Lamourdedieu a écrit un article sur l’inauguration qu’il a suivi avec son Père. ( Article transmis par la fille de M Villette ancien directeur de l’école de Pierrefonds)

https://www.vallee-de-l-aisne.com/site/2806/inaugurationdumonumentdelaliberation.html

h

Raoul Lamourdedieu, né Raoul Eugène Lamourdedieu à Fauguerolles (Lot-et-Garonne) le 2 février 1877 et mort à Pierrefonds (Oise) le 8 mai 19531, est un sculpteur et médailleur français.

Sources:wikipédia https://fr.wikipedia.https://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Lamourdedieu

Le Général De Gaulle a prononcé deux discours à Bayeux: le premeir le 14 juin 1944 et le second le 16 juin 1946

https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_Bayeux

Septmonts

https://fr.wikipedia.org/wiki/Septmonts

L’église Saint-André, classée monument historique23, date du xve siècle, de style flamboyant, avec un clocher à flèche de pierre à crochets. Elle possède une magnifique poutre de gloire polychrome, sculptée de médaillons représentant les douze apôtres. L’église est accolée au vieux cimetière.

Le château de Septmonts, classé monument historique21, a été acquis par la commune en 1978, sous le mandat du maire d’alors, Alain Charmaille, et sa restauration se poursuit aujourd’hui. Jadis ancienne résidence épiscopale en été, il est situé dans un parc donnant sur la place principale, en face de l’église et de la mairie. Son donjon du xive siècle (43 mètres de haut) reste intact et son accès est libre. Il a été représenté par le dessinateur Jean-Pierre-Léopold Baraquin (œuvre conservée au musée de Soissons). Les autres parties du domaine et des bâtiments ont davantage souffert, principalement l’ancienne chapelle et la tour carrée. Pourtant, il reste des douves au nord-est (mais leur réseau a partiellement été asséché) et des murailles, vestiges de l’enceinte. Le palais des évêques de style Renaissance, dont les pans de murs étaient restés debout, a fait l’objet d’une patiente restauration et a retrouvé une toiture en 2010. Au nord du parc, au-delà des douves, ont été aménagés un verger et un arboretum2

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Lucot

René Lucot :fondateur de l’association les Amis de Septmonts

Le Parc de Songeons

https://www.agglo-compiegne.fr/le-parc-de-songeons

À deux pas du musée Vivenel, ancien hôtel de Songeons-Bicquelley, le parc de Songeons abrite encore quelques arcades du cloître de l’ancien couvent des Jacobins.

Le Musée Vivenel

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Otenin

François Otenin (parfois écrit Ostenin, Othenin ou Ottenin) (17 février1770 à Beauzée-sur-Aire – 1eravril1814 à Compiègne) est un militaire s’étant illustré pour avoir tenu tête, ne disposant que de faibles moyens, à l’armée prussienne lors de la défense de Compiègne en 1814. Il est aussi connu sous le nom de Major Otenin.

Le Mémorial Américain de Chateau-Thierry

Le Monument américain de Château-Thierry, ou Monument américain de la cote 204, est un mémorial inauguré en 1933 en souvenir de l’offensive du 18 juillet 1918, lors de la seconde bataille de la Marne. Construit par l’architecte Paul Philippe Cret aidé d’Achille-Henri Chauquet. Il est géré par l’American Battle Monuments Commission.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Monument_am%C3%A9ricain_de_Ch%C3%A2teau-Thierry

https://fr.wikipedia.org/wiki/American_Battle_Monuments_Commission